Catégorie : Direction
Le bureau du directeur…
Mise en place d’un service spécifique aux directeurs et directrices d’école.
Nombreux sont les directeurs qui nous interpellent concernant les affichages dans le bureau de la direction. Où trouver certains outils, où trouver certaines affiches…
La CFTC-EPR propose à ses directeurs et directrices d’école une banque outils composée de pdf institutionnels, d’une mise à disposition de documents types à modifier ou à compléter, et à afficher dans le bureau du directeur.
Un groupe de travail fera évoluer mensuellement ces productions.
Les productions réalisées par la CFTC-EPR restent la propriété de la CFTC-EPR et ne peuvent être affichées sur d’autres sites…
Cet espace est réservé aux directrices et directeurs d’école adhérents à la CFTC-EPR. Le code d’accès aux documents est à solliciter par mail à l’adresse suivante sg.cftcepr@gmail.com, accompagné de votre numéro INARIC, de votre nom et de votre prénom.
Les documents seront disponibles sur la page à partir du 1er décembre 2020.
Direction d’école : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? «
« Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne répondait : » Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie. «
Les directeurs et directrices d’école ne voient que le soleil qui rougeoie…
En effet, après deux mois de travail, les directeurs et directrices d’école n’en peuvent plus. Ils ne cessent de subir les pressions de l’administration, des collègues et des parents.
Ordres, contre-ordres, mais surtout désordres… Telle est la réalité du terrain !
Dans un climat tendu, les injonctions ne cessent de pleuvoir. Dans le cadre d’une gestion difficile sur le terrain de la crise sanitaire que l’Education Nationale traverse, de nombreux directeurs se voient attaquer de toute part.
Bon nombre de personnel les rendent responsables du mauvais climat dans les écoles, du manque de matériel, du manque de concertation de l’administration, du manque de compréhension de l’administration, de la verticalité des consignes…
Dans une méconnaissance totale des missions du directeur, nombreux sont ceux qui vont parfois jusqu’à reprocher aux directeurs de faire leur travail et d’essayer de mener à bien leurs missions !
Aussi, la coupe est pleine ! De nombreux directeurs nous font part de l’intention de quitter leur poste de directeur !
Pour rappel, les écoles, pour la plupart, n’ont plus de secrétaire. Le directeur assure ainsi, pour la plus grande majorité, la classe, la direction d’école, et le secrétariat !
La charge mentale que subissent les directeurs et directrices d’école est arrivée à son paroxysme.
A-t-on déjà vu un responsable mener de front plusieurs métiers en même temps ?
Le premier degré reste le parent pauvre de l’Education Nationale. Les intentions d’améliorations restent au niveau des idées et malgré les belles paroles, rien de concret ne se met en place sur le terrain.
Lors du confinement de mars 2020, les directeurs et directrices d’école ont donné de leur personne pour que le lien école/famille soit maintenu. Durant cette période trouble, les directeurs et directrices d’école ont travaillé dur avec leur équipe pour mener à bien les missions de l’école, en prenant leur responsabilité pour faire avancer quotidiennement les élèves !
De nombreuses limites ont été constatées au niveau du cadre statutaire de la direction d’école.
Tous ont vu l’importance de la direction d’école ! Tous se sont accordés pour dire qu’il était nécessaire de faire évoluer la direction d’école !
Les promesses furent nombreuses : emploi fonctionnel, délégation de compétences, salaires plus attractifs, mise à disposition d’aide à la direction…
Et puis…
Rien !
Si…
Plus de travail pour les directeurs et directrices d’école !
Plus de difficultés à gérer, sans moyens, sans aide !
La situation est intenable !
Mais alors, que fait le ministère de l’Education Nationale ? Qu’attend Monsieur le Ministre pour faire évoluer la direction d’école, de donner à celle-ci un statut clair avec des missions reconnues de tous, comprenant des moyens humains, financiers et matériels ?
Aussi, comment réagir face à cette négligence, cet immobilisme ?
La CFTC-EPR demande aux directeurs et directrices d’école d’utiliser le Registre Santé et Sécurité au Travail (fiche RSST), et de faire remonter les constats à l’Inspecteur ISST de l’Académie.
De même, la CFTC-EPR invite les directeurs et directrices d’école à informer les collègues, les parents, les partenaires, des difficultés qu’ils rencontrent au quotidien, ainsi que des conséquences de ces difficultés qui sont d’effectuer des priorités nécessaires des missions de la direction d’école comme la sécurité des biens et des personnes, le fonctionnement de l’école… Dans ce cadre, les multiples enquêtes, les rencontres et réunions extérieures, la réalisation des projets, les plans de formations complémentaires sont à remettre aux calendes grecques…
Les directeurs ne sont pas des robots multitâches, corvéables à merci !
Direction d’école : du courage, Monsieur le Ministre…
Le ministre de l’Education Nationale nous informe, par l’intermédiaire du site ministériel, des mesures qu’il mettrait en place à partir de la rentrée 2020, en faveur des directeurs d’école.
Ces mesures sont les suivantes :
« Des mesures pour améliorer le quotidien des directeurs d’école : plus d’autonomie et moins de charges
- Les outils à disposition des directeurs seront améliorés afin de simplifier le service, limiter les sollicitations et permettre de gagner du temps ;
- Tout directeur d’école bénéficiera de deux jours de formation par an ;
- Les directeurs départementaux (DASEN) pourront accorder des décharges ponctuelles complémentaires aux directeurs d’école ;
- Les directeurs auront pleine autonomie dans la programmation et la mise en œuvre des 108 heures d’obligation de service ;
- Ils disposeront désormais d’une visibilité sur le calendrier annuel des enquêtes de terrain demandées aux différents échelons. Par ailleurs ces enquêtes seront rationalisées et mieux coordonnées ;
- Dans l’attente de travaux approfondis sur la rémunération et l’avancement, tous les directeurs d’écoles toucheront, à l’automne prochain, une indemnité supplémentaire exceptionnelle.
Ces mesures de simplification doivent permettre aux directeurs de se recentrer sur leur mission essentielle : le pilotage de leur école.
Des mesures pour mieux accompagner les directeurs d’école
- Périodiquement un groupe départemental de directeurs d’école sera réuni afin d’évoquer les problèmes et les solutions applicables ;
- Une fonction nouvelle de référent, dédiée aux directeurs d’école, sera consacrée pour les accompagner, les conseiller, dans l’exercice de leurs missions.
- Les temps d’échanges entre pairs seront systématisés pour favoriser le développement professionnel continu, sur les temps d’animation pédagogique.
- Un travail sera engagé en cours d’année sur la charte fonctionnelle de confiance entre inspecteurs de l’éducation nationale et directeurs.
- Une aide administrative humaine renforcée :
Dès la rentrée prochaine 12 500 jeunes du service civique viendront en appui dans les écoles notamment pour aider dans la relation avec les familles ;
Un plan de recrutement par la voie de l’apprentissage est lancé. Des étudiants en formation post-bac spécialisée dans l’accompagnement administratif (BTS, DUT), permettront aux directeurs d’école qui y auront recours de disposer d’une aide administrative professionnelle et durable ;
La montée en puissance de la préprofessionnalisation se poursuit, avec 900 nouveaux recrutés, venant s’ajouter aux 700 de l’année dernière, qui peuvent désormais prendre en charge des petits groupes d’élèves, ce qui décharge d’autant les collègues professeurs et directeurs. »
Pour la CFTC-EPR, ces mesures ne sont que des mesurettes bien loin des attentes des directeurs et directrices d’école. Les directeurs et directrices d’école ont déjà exprimé de nombreuses fois leurs revendications ! De nombreux rapports le disent et vont dans le même sens ! Mais il semble que les gouvernements successifs ne comprennent pas ce qui est demandé ! Manque de courage, incompréhension, peur des de syndicats en perte de vitesse et d’adhérents…
Il est primordial d’accorder en priorité absolue un temps de décharge de 25% au minimum pour tous les directeurs. Cette exigence est la condition sine qua non pour nous permettre de discuter sérieusement avec vous Monsieur le Ministre.
Il ne nous apparaît pas non plus possible de valider l’octroi d’une indemnité exceptionnelle à l’automne prochain dont on ne connaîtrait absolument pas le montant.
Aussi, la CFTC-EPR rappelle ici ce que les directeurs et directrices d’école demandent : ils veulent en priorité un statut (n’en déplaise à certains syndicats en perdition qui ne représentent qu’eux-mêmes et non les directeurs d’école !) explicitant leurs droits, prérogatives, obligations, devoirs, moyens mis à leur disposition, ainsi que les limites de leurs missions. Ce statut doit être clairement défini et sans faille !
Nombreux sont les directeurs et directrices qui n’en peuvent plus et délaissent la fonction. Ils n’en peuvent plus d’être pris à parti pour tout sans aucune reconnaissance !
Les directeurs et directrices d’école avaient un espoir dans la proposition de loi leur instituant un emploi fonctionnel… L’histoire retiendra-t-elle la frilosité de nos dirigeants ?
Nous avons bien vu, durant la pandémie, le rôle pivot de la direction d’école et les limites de ses prérogatives ! A ce moment, face à la tâche et aux incertitudes, nombreux ont été les Recteurs, DAASEN et Secrétaires Généraux glorifiant les directeurs et directrices d’écoles, souhaitant qu’un statut de chef d’établissement leur soit attribué, pour faire fonctionner la machine du premier degré, critiquée par tous. Ces belles pensées sont restées dans les cartons, au grand désarroi de ceux qui sont sur le terrain au quotidien !
La CFTC-EPR demande à Monsieur le Ministre d’être courageux. Il lui revient d’attribuer aux directeurs et directrices d’école un début de statut, qui pourra être affiné plus tard, prenant en compte leurs attentes mais aussi celle des parents… Ces derniers demandent à rencontrer un responsable de l’école, au quotidien, pas un faisant fonction qui ne peut prendre aucune décision ni donner des réponses à leurs questions !
La CFTC-EPR ne peut accepter que des services civiques soient pris pour effectuer le secrétariat de l’école : leur statut n’est pas en adéquation avec ce poste, ils auront accès à des dossiers confidentiels sans formation, ils ne connaissent rien au secrétariat, ni au monde de l’éducation… Il est temps que notre gouvernement prenne de la hauteur dans ce dossier et prenne des décisions acceptables et honnêtes ! Comme nous l’avons maintes fois répété, il faut créer des emplois pérennes de secrétariat à l’image de ceux existant dans le secondaire.
De même, il est illusoire de penser qu’une charte fonctionnelle de confiance entre inspecteurs de l’éducation nationale et directeurs puisse résoudre les difficultés du quotidien, surtout lorsque qu’il n’y a pas d’égalité statutaire ! Il ne s’agit pas ici d’une histoire de confiance, mais bien de répartition du travail et de compétences. Pour la CFTC-EPR, chacun doit avoir sa fiche de poste sans que celle-ci soit commune. La CFTC-EPR demande à ce qu’un inspecteur s’occupe de la pédagogie dans les classes et qu’un directeur s’occupe de la partie dite de gestion et de pilotage de son établissement, sans avoir un chaperon pour l’empêcher de prendre les décisions nécessaires au service !
La délégation de compétences avancée par l’Assemblée Nationale va en ce sens mais reste interprétable encore une fois. Il serait plus judicieux de répartir les rôles et les moyens !
La CFTC-EPR revendique un texte simple, pour une application claire pour tous sur le terrain.
Ainsi, Monsieur le Ministre, la CFTC-EPR vous demande de doter les directeurs et directrices d’école de véritables moyens pour mener à bien leurs missions : un statut de la direction d’école, des moyens financiers, humains, et logistiques…
Projet de loi créant la fonction de directeur d’école…
La CFTC-EPR se félicite de constater que l’on prenne enfin en compte la situation des directeurs d’école.
La proposition de loi créant la fonction de directeur d’école va en ce sens et de nombreuses propositions de la CFTC-EPR ont été retenues.
Un constat repris par ce projet fait maintenant l’unanimité : « La question de la reconnaissance des missions et responsabilités des directeurs d’école n’est pas nouvelle. Les directeurs d’école sont des enseignants qui assurent des responsabilités de direction en plus de leur charge d’enseignement dans 85 % des écoles, sans réel pouvoir de décision. » Tout est dit et rien n’a été fait depuis la mise en place du décret de 1989 notifiant les missions de la direction d’école. Pourtant, la voie a été tracée avec le Référentiel métier de 2014.
Malheureusement, aucune reconnaissance supplémentaire de ce métier ne s’est poursuivie, malgré les nombreux constats et les diverses propositions de lois…
La CFTC-EPR l’a dénoncé et il l’est rappelé dans ce projet : « La situation des directeurs d’école est étroitement liée à l’organisation même de l’école primaire française qui se caractérise par sa territorialité communale et sa variété. La France fait maintenant figure d’exception au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) par l’absence d’établissements (au sens juridique) et de chefs d’établissement dans l’enseignement primaire. »
Tous, parents, enseignants, institution et autres partenaires reconnaissent que le directeur d’école est un capitaine qui pilote un navire sans moyen, sans reconnaissance et sans pouvoir de décision. Ainsi, au quotidien, il est à l’écoute de chacun, comble au maximum les manques, panse les blessures, assume et orchestre sur le terrain ce qui est décidé dans les sphères ministérielles. Le directeur d’école endosse beaucoup de responsabilités et donne de sa personne ! Sa mission prend différentes colorations : responsable quand rien ne va, un collègue comme un autre lorsque l’on ne veut pas l’écouter, directeur lorsque l’on veut se décharger de certaines actions ou responsabilités. Il fait le lien et parfois tampon entre l’administration, la municipalité, les parents, les collègues, tout ceci sans statut et payé avec quelques indemnités !
Pour les parents, c’est l’incompréhension quand le directeur n’a pas l’autorité pour résoudre de simples problèmes. Ils s’imaginent que la direction ne prend pas au sérieux leur demande.
Ce projet de loi actualise enfin la fonction de la direction d’école. Les directeurs d’école, nommés par le DASEN après une formation, auraient un emploi fonctionnel, non hiérarchique, et resteraient des professeurs des écoles.
Les décharges administratives seraient revues à la hausse et les écoles de plus de 8 classes disposeraient d’une décharge totale.
Le directeur serait décisionnaire pour assurer le bon fonctionnement de l’école et pourrait prendre des décisions en lien avec ses différentes missions.
L’indemnité de direction serait augmentée de 150 à 300 euros en fonction du nombre de classes de l’école.
Les écoles de plus de 20 classes pourraient disposer d’un adjoint à la direction.
Les écoles pourraient être dotées par la collectivité, d’une aide administrative.
Les APC seraient supprimées pour tous les directeurs et ces derniers bénéficieraient d’un allègement de certaines tâches administratives (élections, PPMS…).
Cependant, la CFTC-EPR est très déçue du manque de courage de notre ce groupe de réflexion : pourquoi se limiter à une loi créant une fonction, qui existe déjà, et ne pas créer un statut de la direction d’école ? Les directeurs d’école doivent bénéficier d’un statut qui définisse leurs devoirs, leurs droits, incluant les moyens tant humains, financiers, techniques que logistiques, leur permettant de représenter l’Education Nationale et de faire fonctionner les écoles dans toute la France. Ce statut est nécessaire pour les directeurs et directrices de toutes les écoles, peu importe le nombre de classes.
Le projet de loi n’est pas à la hauteur des attentes des directeurs d’école : absence de statut, absence de corps ou de grade, absence de mise à disposition de moyens humains, financiers, pour gérer au mieux l’établissement, de leviers utilisables par le directeur… Difficile de comprendre le mot décisionnaire sans moyen, sans légalité juridique…
La gestion de crise du COVID-19 a montré la place essentielle de la direction d’école pour gérer la continuité pédagogique et organiser les reprises des écoles. Les directeurs ont permis l’efficacité de toutes ces actions. Le ministère et les académies ont loué le travail accompli. Cette courroie de transmission et d’organisation essentielle n’a pas failli et s’est montrée indispensable.
La CFTC-EPR ne cesse de le rappeler : les directeurs attendent de la considération, et demandent à ce que leur métier soit reconnu, que l’on définisse les limites de leur champ d’intervention et qu’ils aient les moyens de mener à bien leurs missions. Cela passe obligatoirement par un statut !
Nous pourrions entendre :
« Un statut, dites-vous ? Mais malheureux… »
« Mais voyons, cela ne sert à rien ! Pourquoi changer ce qui fonctionne si bien à ce jour ! Tout va bien actuellement, Madame la marquise ! Cela serait contre-productif et on risquerait de créer des petits chefs ! L’IEN ne servirait plus à rien ! Ce serait laisser la porte ouverte au clientélisme ! Il faudrait payer ces directeurs à leur juste valeur, ça coûterait trop cher ! Les directeurs n’auraient plus peur de leur IEN ! Les syndicats sont contre et on ne peut les offenser ! Il faut comprendre qu’ils se retrouveraient face à un unique interlocuteur maîtrisant son sujet ! Les chefs d’établissements sont contre car les directeurs d’école deviendraient leurs égaux ! Ce n’est pas acceptable car il faut maintenir les catégories sociales entre premier et second degré ! Il faut éviter de leur donner des moyens qui leur permettrait de devenir de vrais responsables qui seraient toujours présents dans l’école et qui prendraient des décisions ! Le fonctionnement de l’école serait meilleur, alors comment détruire l’image de l’école publique ! Cela coûterait trop cher au gouvernement ! Il n’y a pas de budget pour cela ! »
Voici, en résumé, les excuses et motifs qui font qu’aucun gouvernement n’a eu le courage de mettre sur la table les véritables enjeux de la direction d’école et la nécessité d’accorder un statut identique à celui du chef d’établissement, auquel devrait s’ajouter le statut de l’école !
Pour la CFTC-EPR, il est plus qu’urgent de revoir cette copie pour que soient apportées des réponses concrètes aux directeurs et directrices d’école : des moyens humains, matériels et une reconnaissance financière à la hauteur du travail qu’ils effectuent au quotidien. Cela est primordial !
A cela, un triste constat pour lequel aucune solution n’a été apportée ce jour : les directeurs et directrices sont seuls ! Disposer de moyens humains à la hauteur de leurs missions ne peut suffire, il est nécessaire que tout directeur puisse avoir un accès direct à un espace juridique pouvant répondre, éclairer et conseiller, afin de pouvoir faire face à chaque situation qu’il rencontre.
Ce projet de loi a le mérite de rappeler les difficultés du métier de la direction et ses atouts. Il lui manque le courage d’écouter les directeurs et de mettre en texte leurs demandes.
La CFTC-EPR, plus que jamais, est déterminée à faire entendre la voix de ses adhérents et proposera lors des rencontres les différentes améliorations qui lui semblent nécessaires…
Pour les directeurs, pour l’école, la CFTC-EPR dit oui à :
- Un STATUT de la direction d’école pour TOUTES les écoles,
- Des moyens HUMAINS,
- Des moyens FINANCIERS,
- Une RECONNAISSANCE du METIER,
- Une REVALORISATION SALARIALE.